Montag, 16. Juli 2012

La situation la plus dangereuse de ma vie dont je me suis échappée.


La situation la plus dangereuse de ma vie dont je me suis échappée.

Il y a déjà deux ans que j’ai vécue c’est passé cet incident, mais pour moi, c’est comme c’était aujourd’hui.  Je me souviens que ce jour–là je me sentis très mal et j’étais de mauvaise humeur.
Je ne sais plus la raison pour mon état d’âme labile de ce jour, mais j’étais vraiment très distraite et triste. J’étais en route pour ma meilleure amie Kristina, à Chlodwigplatz.
Je suis descendue du train de KVB et j’entendis ce bruit très fort, presque assourdissant.
Je levais les yeux, et je ne crus pas ce que je vis. J’étais debout sur les reils, le KVB était tout près de moi. Le conducteur du train appuyait en rage sur le bouton qui sonnait sans arrêt.  Ce bouton sonne toujours pour signaler que le train est en train de passer et que c’est interdit de traverser les reils du train.
J’étais tellement absorbé par mes pensées que j’avais complètement ignoré le feu rouge. Je n’avais pas aperçu que le train se dirigeait vers moi. Je compris que le bouton sonnait à cause de moi.
J’étais à deux doigts de me faire écraser par le train. Je réalisais que tout le monde me regardait. Le conducteur me criait quelque chose dans le haut-parleur, quelque chose de très laid d’après son ton rude.
Je n’entendis pas ses mots. J’étais en état de choc.

Freitag, 29. Juni 2012

Ce que je n’aime pas dans mes etudes des langues et littératures romanes


J’ai commencé mes études de la langue française, parce que j’aime la littérature francophone, notamment Jean-Paul Sartre et Jean Genet. Paris me plaît. Le vin rouge a bon goût. Les conversations en français/ avec des français ne m’ennuient jamais.
La raison pour laquelle je ne peux pas vraiment profiter de mes études de la langue française, c’est dit dans un mot: la lingustique. Je trouve difficile de parler du français avec des termes  de linguistes, car pour moi, le français, c’est la langue de la poésie, de la musique et de l’amour, pas de Saussure.

Adorable.Formidable.Exactement.



La phrase que j’aime bien répéter en français dans n’importe quelle situation, c’est : „Adorable.Formidable.Exactement“. C’est le titre de la chanson du groupe “Vive la fête” qui fait de la musique populaire éléctronique.  Je connais cette chanson du film du jeune cinéaste québécois  Xavier Nolan “Les amours imaginaires”.

La musique qui m’a rapproché du français ou comment je fis la connaissance avec la langue d’IAM



Pour chaque passion il y a un début personnel.  Il est possible que ma passion pour le français vous paraîtra ridicule, même invraisemblable, mais je ne peux pas que raconter que de la vérité.
La premiière fois que j’ai entendue quelqu’un parler français, c’était  en 1998 dans le film marseillais “Taxi”, réalisé pas Luc Besson.  J’avais alors dix ans.
Comme j’aimais toujours la musique moderne, je ne pus pas ignorer le rap français qui accompagnait le film. La poésie de cette langue me fascinait, j’était éblouie.
Notamment le rap du groupe IAM de Marseille, avec le membre bien connu Akhenaton, me plut.  
Jamais de la vie avant, je n’avais pas entendue une langue tellement séduisante  comme celle dans ce film. J’écoutais de la musique et de conversations entre les acteurs et je me dis qu’un jour, moi aussi, je veux parler français comme eux.
A partir de ce jour, j’étais folle de la musique du rap venant de France, malheureusement, je n’avais pas vraiment la possibilité de pouvoir entendre ce genre de musique souvent, parce qu’ à cette époque je vécut  dans un petit village sans accès à internet.
En plus, j’étais un tout petit peu amoureuse de deux acteurs principaux Samy Naceri et Frédéric Diefenthal.
C’était seulement dans la sixième  classe que  je pouvais choisir d’apprendre le français comme langue étrangère  à l’école. Et c’était encore plus tard que je put entendre de la musique de tout le monde sur
l’internet, par exemple Fonky Family, NTM et bien sûr IAM.  Cela m’a aussi beaucoup aidé de lire des paroles de chansons que j’écoutais.